On les veut grandes pour laisser entrer la lumière, mais pas au point de transformer le salon en congélateur l’hiver ❄️ ou en sauna l’été ☀️ Les fenêtres écoénergétiques, c’est un peu l’équilibre parfait entre design, isolation et économies d’énergie.

Mais comment bien les choisir ? Suivez le guide, on vous ouvre toutes les fenêtres du savoir 🪟💡

 

Double ou triple vitrage : à chacun son isolation

 

Le vitrage, c’est le cœur du sujet. Oubliez le simple vitrage, c’est comme laisser la porte entrouverte quand il neige.

• Le double vitrage est aujourd’hui la norme : deux vitres séparées par une lame d’air ou de gaz (argon), pour bloquer le froid (et aussi le bruit).
• Le triple vitrage va encore plus loin. Plus cher, plus lourd, mais idéal pour les climats très froids ou les maisons passives.

🧠 Astuce bonus : optez pour un vitrage à faible émissivité (Low-E). Il réfléchit la chaleur vers l’intérieur en hiver, tout en limitant l’entrée du chaud l’été. C’est comme une crème solaire… mais pour votre maison.

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Les bons indicateurs à connaître (et à vérifier)

 

Deux sigles à retenir pour briller dans les showrooms :

• Uw (transmission thermique globale) : plus c’est bas, mieux c’est. En dessous de 1,3 W/m².K, c’est top.
• Sw (facteur solaire) : plus il est haut, plus la fenêtre laisse entrer la chaleur naturelle du soleil (utile en hiver).
• TLw (transmission lumineuse) : plus c’est élevé, plus vous profitez de la lumière naturelle. Pratique pour économiser sur l’éclairage.

Ces données sont généralement affichées sur l’étiquette énergie des fenêtres. À ne pas zapper.

 

Le bon matériau pour le bon usage

 

Le cadre joue un rôle clé dans la performance thermique. Il doit être aussi isolant que le vitrage :

• PVC : le plus répandu, très bon isolant, facile d’entretien, et souvent le moins cher.
• Bois : chaleureux, très isolant naturellement, mais demande un peu d’entretien (ponçage/vernis).
• Aluminium : design, très résistant, mais doit être à rupture de pont thermique pour éviter les pertes de chaleur.

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La pose : un détail qui change tout

 

Une fenêtre ultra performante mal posée… c’est comme un bonnet en laine avec des trous : ça ne sert à rien 🧢🕳️

• Une mauvaise étanchéité = infiltrations d’air + ponts thermiques = adieu les économies.
• Faites poser vos fenêtres par un artisan RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), condition indispensable pour accéder aux aides financières (MaPrimeRénov’, CEE, etc.).

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Design, sécurité et petits bonus

 

Choisir écoénergétique ne veut pas dire renoncer au style. Aujourd’hui, les fenêtres se déclinent dans toutes les formes, couleurs et finitions.

Et certains modèles vont encore plus loin :

• Fenêtres oscillo-battantes : pour aérer sans tout ouvrir.
• Vitrage anti-effraction : plus de sécurité.
• Fenêtres connectées : qui vous alertent si une baie est restée ouverte (oui, c’est futuriste, mais dispo !).

Résumons simplement

 

Choisir des fenêtres écoénergétiques, c’est un mix de bon vitrage, bon cadre, bonne pose et bonne info. Si vous visez des performances thermiques au top et un intérieur stylé, vous êtes sur la bonne voie.

 

Et en bonus ? Moins de chauffage, plus de confort, et une maison bien valorisée. Avouez, c’est une belle fenêtre d’opportunité 😄

Dépanner, poser, rénover ?

Kelkun s’occupe de tout

Choisir un système de chauffage, c’est un peu comme choisir une playlist pour l’hiver : il faut que ça chauffe bien, longtemps, sans faire exploser le compteur 💸 Et si possible, sans plomber la planète 🌍

 

Alors, que vaut-il mieux installer chez soi pour allier confort, économies et écologie ? On fait  le tour des options les plus malines du moment !

 

La pompe à chaleur : l’indétrônable du moment

 

La pompe à chaleur (PAC pour les intimes) est sans doute la reine du chauffage écoénergétique. Elle capte les calories présentes naturellement dans l’air (PAC air/air ou air/eau), le sol (géothermie), ou l’eau (hydrothermie) pour chauffer votre intérieur.

 

👉 Concrètement ? Elle consomme 1 kWh d’électricité pour produire jusqu’à 4 kWh de chaleur. Du x4, carrément. C’est top pour réduire sa facture de chauffage sur le long terme.

 

Certes, c’est un investissement de départ, mais il existe des aides financières pour vous y aider… à condition de faire appel à un pro RGE.

 

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Le poêle à bois ou à granulés : chaleur naturelle et ambiance cosy

 

Le bois, c’est la chaleur version cocooning. En bûches ou en granulés, il offre un chauffage économique, renouvelable, et chaleureux dans tous les sens du terme 🪵🔥

• Le poêle à bûches est simple, rustique et parfait pour les soirées d’hiver.
• Le poêle à granulés (ou pellets) est plus autonome et programmable, idéal pour ceux qui veulent du confort sans s’en occuper.

   

Petit plus : le bois est l’un des combustibles les moins chers du marché, surtout si vous êtes proche d’une région forestière.

 

Les radiateurs intelligents : l’électrique repensé

 

On les croyait dépassés, mais les nouveaux radiateurs électriques changent la donne. Grâce aux thermostats connectés, à la détection de présence ou encore à l’auto-apprentissage, ils adaptent leur fonctionnement à votre rythme de vie. Résultat ? Moins de gaspillage, plus de confort, sans avoir besoin de refaire toute l’installation.

C’est la solution idéale si vous ne pouvez pas faire de gros travaux mais que vous voulez mieux piloter votre conso ⚡

 

Le chauffage solaire : cap sur l’énergie gratuite

 

Et si le soleil devenait votre meilleur allié ? ☀️ Grâce aux panneaux solaires thermiques, 

on peut chauffer l’eau sanitaire… et dans certains cas, alimenter un plancher chauffant ou des radiateurs basse température.

 

Ce système est 100 % renouvelable et fonctionne à merveille si votre région est bien ensoleillée. Seul bémol : il nécessite souvent un système d’appoint (PAC ou chaudière).

 

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Et la chaudière dans tout ça ?

 

Les chaudières à condensation restent une option valable si vous êtes raccordé au gaz. Elles consomment moins que les modèles classiques grâce à la récupération de chaleur. Mais elles sont moins écologiques que les solutions précédentes. On les considère donc plutôt comme un plan B de transition, ou pour des logements mal adaptés à d’autres systèmes.

 

Ce qu’il faut retenir

 

Le meilleur chauffage écoénergétique dépend surtout de votre logement, de votre budget et de votre style de vie. Voici un petit résumé :

• PAC : ultra performante et polyvalente, surtout en neuf ou rénovation lourde.
• Poêle à bois : écologique, chaleureux, top en chauffage d’appoint ou principal dans une maison bien isolée.
• Radiateurs connectés : faciles à installer, parfaits pour optimiser une installation existante.
• Solaire thermique : propre et gratuit, mais dépend du soleil et nécessite souvent un système d’appoint.

   

Changer de système de chauffage, c’est une décision qui dure 15 à 20 ans. Alors autant bien la réfléchir, et surtout… bien s’entourer 💪

Dépanner, poser, rénover ?

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L’isolation d’une maison, c’est un peu comme lui enfiler un gros pull bien chaud. Plus c’est bien fait, moins on dépense en chauffage (et en clim l’été). En prime, on gagne en confort, on fait du bien à la planète… et à son portefeuille 🧤🌍

 

Voici toutes les astuces pour rendre votre maison plus douillette sans forcément tout casser.

 

Commencer par le plus stratégique : les combles et la toiture

La chaleur monte, c’est bien connu. Et sans bonne isolation des combles, environ 30 % de cette chaleur se fait la malle par le toit. Pas cool. C’est donc LE premier chantier à 

envisager.

 

Si vos combles sont accessibles (même non aménagés), vous pouvez poser un isolant au sol : laine de verre, ouate de cellulose, etc. Et si c’est trop technique ou pas accessible facilement, un artisan peut s’en occuper en un rien de temps.

 

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Les murs : deuxième source de déperdition

 

20 à 25 % de la chaleur s’échappe par les murs. Il existe deux grandes techniques d’isolation :

• Par l’intérieur : moins coûteux, mais réduit légèrement la surface habitable.
• Par l’extérieur : plus performant, mais aussi plus cher. En bonus, ça rafraîchit la façade !

Un bon isolant mural (laine de roche, panneaux isolants…) améliore aussi l’isolation phonique, donc fini les voisins bruyants 😉

 

N’oubliez pas les sols !

 

Oui, oui, le sol aussi peut laisser filer la chaleur. Si vous avez un vide sanitaire ou une cave en dessous, l’isolation du plancher peut faire une vraie différence. Et pour les logements anciens, c’est souvent un point faible.

 

Des panneaux rigides, une dalle isolante ou même un tapis épais dans certaines pièces peuvent améliorer le confort thermique.

 

Les fenêtres : pas juste une question de vitrage

 

Remplacer ses vieilles fenêtres par du double (voire triple) vitrage, c’est souvent un investissement rentable. Mais pas besoin de tout changer d’un coup si le budget coince :

• Posez des joints isolants autour des ouvrants.
• Ajoutez des rideaux thermiques ou des volets isolants.
• Utilisez des films isolants à coller directement sur les vitres.

Parfois, quelques ajustements suffisent pour gagner quelques précieux degrés 🌡️

Un vitrier Kelkun est à votre disposition

Boucher les petits trous… et les fuites d’air

 

Une mauvaise isolation, ce n’est pas toujours spectaculaire. Parfois, ce sont des mini courants d’air près des plinthes, des prises, des portes… qui font chuter la température.

 

➡️ On pense donc à :

• Calfeutrer les bas de porte.
• Vérifier les joints de fenêtres.
• Isoler les coffres de volets roulants.

Et si vous sentez que ça devient un vrai chantier ou que l’humidité s’invite, mieux vaut faire appel à un pro pour éviter les erreurs.

 

👉 Besoin d’un coup de main ? Faites appel à un artisan avec kelkun.com, il saura repérer tous les points faibles de votre isolation.

 

Le bon matériau, au bon endroit

 

Chaque isolant a ses avantages :

• Laine de verre : économique et facile à poser.
• Ouate de cellulose : écolo, idéale pour les combles.
• Laine de roche : top pour les murs, résiste bien au feu.
• Polystyrène extrudé : très bon isolant pour les sols.

Pas besoin d’être expert pour choisir, mais renseignez-vous sur les performances thermiques (le fameux “R” : plus il est élevé, mieux c’est).

 

Isolation et aides financières : un combo gagnant

 

Bonne nouvelle : améliorer l’isolation, ça peut être partiellement financé par l’État ou certaines collectivités (MaPrimeRénov’, CEE, etc.).

Avant de vous lancer, vérifiez votre éligibilité à ces coups de pouce. Un artisan certifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) est souvent nécessaire pour en bénéficier.

Voilà, vous avez toutes les cartes en main pour rendre votre maison bien plus agréable toute l’année. Et en plus, vous ferez des économies d’énergie tout en augmentant la valeur de votre logement. Plutôt malin, non ?

 

 

Dépanner, poser, rénover ?

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