Trouvez le bon chauffagiste pour l’entretien de votre PAC géothermique
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chauffagistes peuvent réaliser pour vous
Une PAC géothermique bien suivie, c’est un COP qui reste haut et un confort qui ne faiblit pas
La pompe à chaleur géothermique s’appuie sur une source stable (le sol) pour délivrer une chaleur régulière à basse température.
Pour conserver ce rendement élevé dans la durée, l’entretien annuel par un chauffagiste qualifié est indispensable : contrôles hydrauliques, vérification du circuit primaire (sol), réglages de régulation et suivi de la qualité d’eau côté chauffage.
Avec Kelkun, vous décrivez votre besoin, recevez une estimation claire, comparez des pros notés et planifiez la visite au bon moment.
Pourquoi l’entretien d’une PAC géothermique est incontournable
Même si la source est stable, une PAC géothermique peut perdre du rendement à cause de filtres encrassés, d’un ΔT mal maîtrisé, d’un défaut de glycol dans le primaire ou d’une régulation qui a dérivé.
Un suivi régulier limite les cycles courts, protège le compresseur et évite une surconsommation électrique.
Ce que comprend l’entretien d’une pompe à chaleur géothermique
Avant de détailler, retenez que le protocole s’adapte à votre configuration (capteurs horizontaux, sondes verticales, aquathermie de nappe, plancher chauffant ou radiateurs BT).
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Côté circuit primaire (sol) : contrôle pression/étanchéité, vérification de la concentration d’antigel (glycol), inspection des flexibles et des purgeurs, test de fonctionnement des pompes primaires et nettoyage éventuel de tamis.
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Côté circuit chauffage (secondaire) : nettoyage filtres et pot à boues/filtre magnétique, purge de l’air, contrôle du vase d’expansion, mesure de pression, vérification du circulateur.
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Mesures thermiques : relevé des températures départ/retour primaire et secondaire, calcul des ΔT, comparaison aux valeurs cibles, ajustement des débits.
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Régulation : relecture et calage de la loi d’eau, priorités ECS, plages horaires, sondes extérieure et départ/retour, mise à jour si prévue par le fabricant.
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Condensats et acoustique (si module intérieur condense) : écoulement libre, siphon propre, contrôle vibrations et niveaux sonores.
Cette visite remet l’installation dans sa plage de rendement nominale, réduit le bruit et sécurise la saison de chauffe.
Fréquence et meilleur moment pour l’entretien
Un entretien annuel suffit dans la majorité des cas. Le créneau idéal est fin d’été / début d’automne, juste avant la saison de chauffage.
En usage intensif ou si l’environnement est poussiéreux, prévoyez un contrôle intermédiaire allégé (filtres, pot à boues, purge rapide).
Prix d’un entretien de PAC géothermique : les repères utiles
Le tarif dépend du nombre de circuits, de l’accès au local technique et des consommables.
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Entretien annuel PAC géothermique (contrôles complets primaire + secondaire + régulation) : 160 à 280 € TTC
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Produit antigel (appoint/ajustement de concentration) : 40 à 120 € TTC selon volume
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Cartouches / tamis / aimants pot à boues : 30 à 80 € TTC
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Contrôle approfondi ΔT/débits avec équilibrage : souvent inclus, sinon 50 à 120 € TTC selon temps passé
Ces fourchettes orientent le budget ; un devis personnalisé précisera selon vos longueurs de capteurs/sondes, l’émetteur (plancher, radiateurs BT) et l’état du réseau.
Signes qui montrent qu’un entretien s’impose rapidement
Ces symptômes sont les plus parlants. Ils reflètent souvent un déséquilibre hydraulique, un ΔT dégradé ou une concentration de glycol inadaptée.
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Montée en température lente, pièces tièdes malgré une consigne normale
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Cycles courts (démarrages/arrêts rapprochés) ou compresseur plus bruyant que d’habitude
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Consommation en hausse à confort identique, COP ressenti en baisse
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Bruits d’eau/gargouillis, besoin de purges fréquentes, pression qui chute régulièrement
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Codes défaut liés aux sondes, au débit ou à la température primaire
Planifier une visite tôt évite l’usure du compresseur et les factures qui s’envolent.
Focus circuit primaire : glycol, débits et longévité des capteurs
La concentration d’antigel doit rester dans la fenêtre préconisée (assez haute pour l’antigel, pas trop pour limiter la viscosité).
Des débits primaires insuffisants dégradent l’échange et font chuter le COP ; des débits excessifs peuvent générer bruit et surconsommation de pompes. Un contrôle annuel protège à la fois la PAC et la durée de vie des capteurs/sondes.
Émetteurs : plancher chauffant, radiateurs basse température, ventilo-convecteurs
La géothermie donne le meilleur avec des températures d’eau basses.
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Plancher chauffant : viser des départs 30–35 °C avec un ΔT modéré, équilibrage boucle par boucle (débitmètres).
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Radiateurs basse température : s’assurer que la surface d’échange est suffisante ; ajuster la loi d’eau pour éviter les yo-yo.
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Ventilo-convecteurs : utiles pour la réactivité, à condition de garder des vitesses adaptées au confort acoustique.
Une régulation bien calée maintient le COP haut tout en garantissant un confort stable.
Cette adaptation émetteurs + réglages vaut souvent plus qu’un changement de matériel.
Bonnes pratiques entre deux entretiens
Ces gestes simples prolongent l’effet de la visite et stabilisent la consommation.
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Conserver des consignes stables et laisser travailler la loi d’eau plutôt que de faire varier le thermostat de ±3 °C.
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Dégager les accès au pot à boues, aux filtres et aux collecteurs pour les contrôles visuels.
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Surveiller la pression à froid (souvent 1–1,5 bar côté chauffage selon l’installation) et noter toute dérive.
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Écouter les bruits nouveaux (gargouillis, sifflements) et les consigner pour le technicien.
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Photographier l’écran de régulation après la mise au point (paramètres de référence).
Ces habitudes maintiennent un ΔT cohérent, limitent les cycles courts et préservent le COP réel.
Le confort et les économies viennent autant des réglages réguliers que de la technologie elle-même.
Quand faire appel à un professionnel ?
Au-delà du rendez-vous annuel, certains signaux justifient une intervention rapide.
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Perte de puissance sensible, zones froides persistantes
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Cycles courts répétés, surconsommation ou bruits inhabituels
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Pression qui chute souvent, appoint d’eau récurrent, traces d’humidité au niveau des condensats
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Codes d’erreur répétés (débit, sonde, température primaire/secondaire)
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Doute sur la concentration de glycol (odeur, ajout récent d’eau de remplissage)
Un chauffagiste qualifié mesure les débits, recale la régulation, vérifie le primaire et remet l’installation dans ses paramètres de référence.
Foire Aux Questions – Entretien pompe à chaleur géothermique
À quelle fréquence faut-il réaliser l’entretien d’une pompe à chaleur géothermique pour garder un bon COP ?
Un entretien annuel suffit, avec contrôle du primaire, des ΔT, des filtres et de la régulation.
Quel est le prix d’un entretien de PAC géothermique et que couvre le forfait ?
Comptez 160 à 280 € TTC pour les contrôles complets primaire/secondaire/régulation, hors consommables (glycol, cartouches).
Dois-je vérifier moi-même la concentration d’antigel dans le circuit primaire ?
Non, mieux vaut laisser un pro tester et ajuster la concentration de glycol pour éviter gel ou surviscosité.
L’entretien améliore-t-il vraiment la consommation électrique d’une géothermie ?
Oui, un ΔT cohérent, des débits stables et une loi d’eau calée réduisent la conso et protègent le compresseur.
Que faire si j’entends des gargouillis ou si la pression chute régulièrement ?
Contactez un chauffagiste : il vérifiera purges, vase d’expansion, fuites éventuelles et l’état du pot à boues.
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