Avant de vous lancer pinceau à la main, il y a une étape cruciale à ne pas zapper : le calcul de la quantité de peinture qu’il vous faut. Trop peu, et vous finissez le mur avec un fond de pot sec. Trop, et vous vous retrouvez avec des litres inutilisés à stocker au garage. Bref, pour éviter ces deux scénarios, on vous guide pas à pas. Promis, c’est simple, rapide et un peu fun (enfin… aussi fun que des maths avec de la peinture 😄).

Étape 1 : mesurer vos surfaces (pas à l’œil hein)

Prenez un mètre ruban et mesurez chaque mur que vous souhaitez peindre. Notez la hauteur et la largeur, sans oublier les éventuels plafonds si vous comptez les repeindre. Vous pouvez faire un petit schéma rapide pour vous repérer (ou le gribouiller au dos d’un ticket de caisse, on ne juge pas). Si vous avez des portes ou des fenêtres, vous pouvez déduire leur surface du total, sauf si vous êtes du genre à tout peindre sans distinction (on vous voit 👀).

Étape 2 : faites vos calculs (on sort la calculette)

Une fois que vous avez vos mesures, multipliez la hauteur par la largeur de chaque mur pour obtenir la surface en m². Additionnez toutes ces surfaces pour avoir la surface totale à peindre. Par exemple, si vous avez deux murs de 2,5 m de haut et 4 m de large, ça fait :
2,5 x 4 = 10 m² par mur → 2 murs = 20 m².

Étape 3 : vérifiez la couvrance de la peinture

Chaque pot de peinture indique la rendement en m²/Litre (souvent entre 10 et 12 m²/L). Cette info est précieuse ! Divisez la surface à peindre par ce rendement pour obtenir la quantité de peinture nécessaire en litres. Exemple :

 Si votre surface fait 40 m² et que la peinture couvre 10 m²/L → il vous faut 4 litres pour une couche.

⚠️ Petit conseil malin : ajoutez toujours 10 à 15 % de marge, histoire de ne pas vous retrouver à sec en plein milieu d’un mur (on connaît tous ce moment gênant).

Étape 4 : prévoyez les couches

La plupart des projets nécessitent 2 couches pour un rendu propre, surtout si vous passez d’une couleur foncée à une couleur claire (ou l’inverse). Multipliez donc la quantité calculée par le nombre de couches.
Et si vous appliquez une sous-couche, il faudra aussi l’inclure dans vos calculs !

Étape 5 : adaptez à votre projet

Les besoins changent selon la surface (mur, plafond, meuble), le type de peinture (mate, satinée…), et la nature du support (placo neuf, mur déjà peint…). Un mur très poreux absorbera davantage de peinture qu’un mur bien lisse. 

Vous voilà prêt à estimer précisément la quantité de peinture nécessaire à votre projet. Avec quelques mesures, un peu de calcul, et les bons réflexes, vous évitez le gaspillage et les galères. Et franchement, avoir pile la bonne quantité, c’est presque aussi satisfaisant qu’un mur fraîchement repeint 😌

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Quand on pense peinture, on imagine souvent les couleurs d’abord. Pourtant, la finition est tout aussi importante. Elle influence l’ambiance d’une pièce, la luminosité, la facilité d’entretien, et même le rendu des murs. Mat, satiné, brillant, velours… chaque finition a ses avantages et ses limites. Alors, comment s’y retrouver pour faire le bon choix ? On vous explique tout, sans prise de tête 🎨

Mat : le choix douceur

La finition mate est un grand classique. Elle ne reflète pas la lumière, ce qui donne un effet très apaisant, cosy et feutré. C’est la star des chambres, des salons douillets ou des ambiances minimalistes. Elle a aussi un super-pouvoir : elle camoufle les défauts des murs. Si vos cloisons sont un peu irrégulières, c’est le mat qu’il vous faut. Par contre, elle est assez fragile : une tache peut vite laisser une marque. Ce n’est donc pas la meilleure alliée dans une cuisine ou un couloir d’entrée.

Si vous n’êtes pas sûr du résultat, alors faites appel à un pro Kelkun

Satiné : lumineux et costaud

Envie d’un mur qui capte un peu la lumière, tout en étant facile à nettoyer ? La finition satinée est votre alliée. Elle renvoie une légère brillance, sans être tape-à-l’œil. Parfaite pour les pièces de vie, les chambres d’enfants, les salles de bains, les cages d’escalier… bref, partout où il y a du passage.

Attention tout de même : comme elle est un peu brillante, elle ne pardonne pas les murs mal préparés. Chaque petite bosse ou irrégularité peut devenir visible une fois la peinture sèche. Donc un bon ponçage et un mur bien lisse sont essentiels.

Brillant : effet miroir et caractère

C’est la finition la plus lumineuse. Très réfléchissante, elle donne un style moderne, voire un peu chic, surtout quand on l’utilise en petites touches : sur des boiseries, des meubles, ou même un soubassement.

Mais soyons clairs : c’est aussi la plus exigeante. Un mur un peu abîmé ? Le brillant va le montrer en HD. Mieux vaut réserver cette finition aux surfaces ultra-lisses, bien préparées. Et si vous voulez un rendu propre sans y passer vos week-ends, pour qu’un pro s’en occupe dans les règles de l’art.

Velours : le compromis élégant

Ni trop mat, ni trop brillant, la finition velours est de plus en plus populaire. Elle offre un joli rendu soyeux, très subtil, qui s’adapte à quasiment toutes les pièces. Elle est aussi un peu plus résistante que le mat, tout en étant moins révélatrice que le satiné. C’est un bon choix si vous cherchez une peinture passe-partout, esthétique et un peu plus pratique au quotidien.

Vous l’avez compris : chaque finition a son style et ses petits caprices. Le mat pour l’élégance discrète, le satiné pour le côté pratique, le brillant pour affirmer le style, et le velours pour l’équilibre parfait. Choisir la bonne finition, c’est comme trouver le bon filtre Insta : ça change tout 😌

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Bravo, vous venez de finir votre peinture 🥳 ! Avant de tout ranger, un dernier petit effort : nettoyer vos pinceaux et rouleaux. Eh oui, si vous les laissez sécher comme ça, ils finiront aussi rigides qu’une brosse de barbecue. Pour éviter d’en racheter à chaque projet, suivez ce guide simple et efficace pour entretenir vos outils comme un pro.

Nettoyer ses pinceaux : rapide et sans dégâts

Commencez par enlever le surplus de peinture avec un chiffon ou du papier absorbant (ne jetez pas directement le pinceau dans l’eau, ça l’abîme !).

👉 Peinture à l’eau (acrylique) : rincez à l’eau tiède avec un peu de savon doux. Faites mousser dans le creux de votre main ou utilisez un petit récipient. Quand l’eau devient claire, c’est bon ! Secouez pour enlever l’excès d’eau, puis laissez sécher à l’air libre, à plat ou suspendu, sans que les poils touchent une surface.

👉 Peinture à l’huile : utilisez d’abord du white spirit ou un solvant adapté. Faites tremper quelques minutes, puis frottez doucement. Ensuite, rincez avec de l’eau savonneuse pour retirer les résidus de solvant. Idem, séchage à l’air libre en gardant la forme du pinceau.

💡 Astuce : pour conserver la forme, enroulez les poils encore humides dans du papier absorbant et laissez-les sécher ainsi.

Nettoyer les rouleaux : stop aux blocs de peinture sèche

Nettoyer un rouleau demande un peu plus de patience, mais ça vaut le coup !

1. Grattez le surplus de peinture avec une spatule ou un peigne à rouleau si vous en avez un. Vous éviterez de gaspiller et faciliterez le nettoyage.
2. Rincez à l’eau tiède, en le faisant rouler sous le jet.
3. Ajoutez du savon ou du liquide vaisselle dans un seau, puis faites tourner le rouleau dans l’eau savonneuse jusqu’à ce qu’elle devienne claire.
4. Pressez doucement (sans le tordre !) pour enlever l’eau, puis laissez-le sécher à l’air libre, debout ou suspendu.

🎯 Si vous avez utilisé une peinture à l’huile, même principe que pour les pinceaux : commencez par un solvant, puis savonnez et rincez.

Bien entretenir pour mieux réutiliser

Un bon nettoyage, c’est bien. Un bon entretien, c’est mieux. Voici quelques réflexes simples :

• Ne laissez jamais vos pinceaux tremper des heures dans l’eau ou le solvant : les poils se déforment et la colle du manche finit par lâcher.
• Rangez vos pinceaux et rouleaux à l’abri de la poussière, dans une boîte hermétique ou enveloppés dans du film alimentaire si vous comptez les réutiliser rapidement.
• Pour un stockage longue durée, suspendez les pinceaux par le manche et posez les rouleaux à plat, dans un endroit sec.

🤫 Pro tip : si vous peignez sur plusieurs jours, enveloppez les pinceaux/rouleaux dans du film plastique ou un sac congélation hermétique. Hop, direction le frigo ! Le lendemain, ils seront comme neufs.

Prendre soin de ses outils, c’est économique et écologique. Plus besoin d’en racheter pour chaque projet, et le résultat final sera toujours plus propre ✨. Quelques minutes après chaque session suffisent pour prolonger leur durée de vie.

Et si malgré tous vos efforts, votre rouleau ressemble à une éponge de cantine, ou votre pinceau à un balai de sorcière… il est peut-être temps de le remplacer ou de demander un coup de main pro.

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Appliquer une sous-couche, c’est un peu comme préparer la base d’un gâteau : c’est ce qui garantit que la peinture finale tienne bien et soit belle. Sans cette étape, vous risquez d’avoir un rendu bof, des couches qui s’écaillent ou des couleurs qui ne ressortent pas. Pas top, non ?

Voici donc toutes les astuces pour réussir cette étape comme un pro, que vous soyez en train de peindre un mur, un plafond ou même un meuble.

Choisir la bonne sous-couche

Avant de commencer, il faut sélectionner la sous-couche adaptée à votre surface. Chaque matière a ses besoins : pour le bois brut ou le plâtre, une sous-couche acrylique fera parfaitement l’affaire, car elle pénètre bien et prépare efficacement le support. Pour des surfaces plus lisses comme le métal ou le plastique, optez plutôt pour une sous-couche à base d’huile, plus résistante et plus adhérente. 🖌️ Vérifiez bien que votre sous-couche est compatible avec la peinture que vous utiliserez ensuite (acrylique ou glycéro, par exemple). Cela évite bien des mauvaises surprises.

Préparer la surface

Une bonne sous-couche s’applique uniquement sur une surface propre et bien préparée. Avant de commencer, nettoyez soigneusement votre support pour éliminer la poussière, la graisse ou les anciennes peintures qui s’écaillent. Un chiffon humide ou une éponge avec un peu de savon doux suffira, puis laissez bien sécher. 🔍 Examinez ensuite s’il y a des trous, fissures ou irrégularités : un enduit de rebouchage permettra de tout corriger. Une fois sec, poncez légèrement pour lisser la surface. Et pensez à protéger les zones que vous ne souhaitez pas peindre avec du ruban de masquage : cela vous évitera bien des galères au moment du nettoyage.

Agiter et appliquer la sous-couche

Avant d’ouvrir le pot, secouez-le énergiquement pour bien mélanger tous les composants. Cela évite que la sous-couche soit trop liquide ou au contraire trop épaisse. Commencez l’application par les coins et les bords à l’aide d’un pinceau de qualité. Pour le reste, privilégiez un rouleau adapté à la surface : à poils courts pour les murs lisses, à poils plus longs pour les supports texturés. 🎨 Travaillez par petites zones, cela permet une meilleure répartition et évite les traces ou les surcharges.

Respecter le temps de séchage

C’est crucial ! Chaque sous-couche a un temps de séchage indiqué sur le pot, en général de quelques heures. Ne vous précipitez pas pour appliquer la peinture définitive : une sous-couche pas assez sèche peut compromettre l’adhérence, provoquer des cloques ou un écaillage rapide. Un peu de patience… et tout ira bien ! ⏳

Éventuellement, appliquer une deuxième couche

Selon l’état du support et la couleur que vous souhaitez appliquer, une seconde couche de sous-couche peut être utile. Par exemple, si vous peignez un mur foncé avec une couleur claire, une seule couche ne suffira peut-être pas pour une bonne opacité. Idem pour les supports qui absorbent beaucoup.

Nettoyer vos outils

Une fois terminé, n’attendez pas pour nettoyer vos pinceaux et rouleaux ! Utilisez de l’eau tiède et du savon si vous avez utilisé une sous-couche acrylique, ou un solvant adapté si elle est à base d’huile. Cela évite que les outils sèchent et deviennent inutilisables. Et franchement, vous gagnerez un temps précieux pour votre prochaine session. 🧼

En résumé, une sous-couche bien appliquée, c’est la base d’un travail de peinture réussi. Choisissez un produit adapté, préparez soigneusement votre support, appliquez proprement, respectez les temps de séchage… et votre peinture finale sera belle, durable et sans défauts. Vous pourrez ensuite laisser libre cours à vos envies déco, en toute sérénité 🔥

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Ah, le grand air et la peinture en extérieur, c’est top pour donner un coup de neuf à sa maison ou son jardin ! Mais avant de sortir les pinceaux, mieux vaut suivre quelques astuces pour que le résultat tienne dans le temps et soit bien propre.

Préparation au top pour peindre en extérieur

La première étape, c’est la préparation. Il faut que la surface soit nickel : nettoyez bien la façade, la clôture ou la terrasse avec un nettoyeur haute pression, ou à défaut un mélange d’eau et de savon. Enlever la poussière, la saleté et les vieilles peintures qui s’écaillent, c’est super important pour que la nouvelle peinture accroche bien.

Pensez aussi à protéger ce que vous ne voulez pas peindre avec du ruban de masquage et des bâches, comme les fenêtres, les plantes ou le sol. Un petit effort en préparation, et la peinture sera beaucoup plus propre.

Choisir la bonne peinture

Pour l’extérieur, pas question de prendre une peinture classique d’intérieur. Il faut choisir une peinture spécialement conçue pour résister aux intempéries, à la pluie, au soleil et aux UV qui dégradent les couleurs.

La finition dépend de la surface : mate pour une façade discrète, satinée pour une clôture qui résiste à l’humidité, ou antidérapante pour une terrasse où il faut éviter les glissades.

Si vous hésitez sur le type de peinture, un tour sur kelkun.com peut vous guider pour faire le bon choix sans galérer.

Le bon moment pour peindre

La météo, c’est la base pour réussir une peinture en extérieur. Privilégiez une journée sèche, sans pluie, pas trop chaude, et surtout sans vent. Évitez les jours de grand vent, car la peinture fraîche pourrait attraper la poussière, et évitez aussi les grosses chaleurs qui font sécher la peinture trop vite et laissent des traces.

Le matin ou la fin d’après-midi sont souvent les meilleurs moments pour peindre.

Techniques simples pour peindre dehors

Pour les grandes surfaces, le rouleau est votre meilleur allié, rapide et efficace. Pour les détails ou les coins, prenez un pinceau.

Peignez dans le sens des fibres du bois, ou de haut en bas pour les murs, ça évite les traces et les coulures. Préférez toujours plusieurs couches fines à une seule couche épaisse, c’est plus joli et ça dure plus longtemps.

Séchage, retouches et nettoyage

Laissez bien sécher la première couche avant d’en mettre une autre. Le temps varie selon la peinture, vérifiez les infos sur le pot. Une deuxième couche donne souvent un rendu plus net et plus résistant.

Une fois sec, enlevez doucement le ruban de masquage pour ne pas abîmer la peinture, et nettoyez vos pinceaux avec de l’eau savonneuse ou un produit adapté.

Voilà, avec ces astuces simples, vous êtes prêt à repeindre votre extérieur sans stress et avec un super résultat. N’oubliez pas que la clé, c’est la préparation et la météo. Pour plus de conseils et du matos, kelkun.com est une super ressource.

Allez, à vos pinceaux, profitez de l’air frais et faites briller votre maison ! 🎨🌿

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