Trouvez le bon chauffagiste pour dépanner votre
PAC air-eau

Toutes les interventions que nos
chauffagistes peuvent réaliser pour vous

Plus de chaleur, code erreur, givre persistant : on remet votre PAC en service vite et bien

Une pompe à chaleur air-eau doit assurer un confort stable avec une consommation maîtrisée.

En cas de panne, de COP en chute ou de cycles de dégivrage incessants, faites intervenir un chauffagiste dépanneur habitué aux PAC split et monobloc.

Avec Kelkun, décrivez le symptôme, ajoutez une photo ou le code erreur, recevez une estimation transparente et planifiez une intervention rapide avec un artisan noté près de chez vous.

Service 100 % gratuit côté demande.

Origines probables selon le symptôme

Avant de lister, rappelons qu’un même symptôme peut avoir plusieurs causes et qu’un test méthodique s’impose.

• Confort en berne : filtre/pot à boues colmaté, débit insuffisant, équilibrage dégradé, vanne 3 voies bloquée

• Givre persistant : échangeur encrassé, sonde givrage erronée, dégivrage mal paramétré, emplacement défavorable

• Bruits / vibrations : ventilateur déréglé, plots antivibratiles usés, hélice voilée, conduites qui résonnent

• Codes régulation : sonde départ/retour dérivante, capteur extérieur HS, débitmètre/fluxostat défaillant

• Sauts électriques : résistance d’appoint défectueuse, court-circuit ventilateur, carte puissance en défaut

En conclusion, seul un diagnostic croisé air-hydraulique-électrique permet d’identifier la vraie cause.

Comment se déroule un dépannage de PAC air-eau

L’objectif est de sécuriser, diagnostiquer rapidement et remettre en service quand c’est possible dès la première visite.

1) Contrôles de sécurité et diagnostic ciblé

Le chauffagiste vérifie les alims électriques, l’état des protections, relève les codes erreurs et l’historique.

Il inspecte l’unité extérieure (état des ailettes, ventilateur, givre, évacuation des condensats) et le module intérieur (pression, circulateur, filtre, pot à boues).

Cette première étape circonscrit la zone fautive.

2) Tests et mesures

Avant d’énumérer les tests, notez que l’artisan suit les préconisations constructeur.

• Mesure débits et ΔT aller/retour, purge d’air si besoin

• Test des sondes (extérieur, départ, retour, ECS) et vérification des câblages

• Contrôle ventilateur (vitesse, intensité, bruit), état des plots

• Vérification vanne 3 voies, débitmètre/fluxostat, pressostats, appoint électrique

• Lecture et ajustement de la loi d’eau et des paramètres de dégivrage

Ces mesures orientent un plan d’action concret.

3) Remise en état immédiate quand c’est possible

Lorsque la cause est identifiée et les pièces disponibles, le pro intervient sans attendre : nettoyage échangeur et bac condensats, remplacement sonde ou ventilateur, dégommage vanne, rinçage filtre/pot à boues, reprise équilibrage et consignes.

Un allumage de contrôle valide la réparation.

4) Devis pièces et seconde visite si nécessaire

Si une carte électronique, un circulateur ou une résistance d’appoint spécifique est à commander, l’artisan fournit un devis précis (pièce + pose), indique le délai, puis planifie la seconde intervention.

Vous repartez avec un rapport listant tests, réglages et recommandations.

Prix pompe à chaleur air-eau : combien coûte un dépannage ?

Les tarifs varient selon la complexité, l’accès et les pièces à remplacer.

Pour vous guider, voici des ordres de grandeur TTC.

Main-d’œuvre et déplacement

Avant la liste, gardez en tête que de nombreux pros appliquent un forfait diagnostic.

• Diagnostic + remise en route simple (nettoyage échangeur/filtre, réglages) : 150 à 260 €

• Recherche de panne avancée (tests électriques, hydraulique, paramétrage complet) : 190 à 380 €

• Soir / week-end : majoration selon distance et créneau

Pièces usuelles (pièce + pose)

Les montants dépendent de la marque et du modèle, mais on constate souvent :

• Sonde (extérieure, départ, retour, ECS) : 70 à 180 €

• Ventilateur unité ext. : 220 à 480 €

• Circulateur : 280 à 600 €

• Vanne 3 voies / servomoteur : 220 à 520 €

• Carte électronique (régulation/puissance) : 260 à 750 €

• Résistance d’appoint : 180 à 420 €

En conclusion, un diagnostic sérieux évite les remplacements inutiles et réduit la facture globale.

Dépannage selon le type de PAC

Avant de distinguer, rappelons que la méthode reste : sécuriser, mesurer, corriger.

• Split (bi-bloc) : attention aux liaisons frigorifiques, aux sondes et à la cohérence loi d’eau / dégivrage. Le ventilateur et l’échangeur ext. sont prioritaires.

• Monobloc : focus sur le hors-gel hydraulique, l’évacuation des condensats et l’isolation des liaisons. Un manque de protection peut déclencher des défauts récurrents.

• Haute température : contrôle de la vanne 3 voies, de la modulation d’appoint, et des ΔT élevés sans surconsommer.

• Hybride (PAC + chaudière) : vérification de la bascule et des priorités, contrôle combustion chaudière et sécurités croisées.

Ce que vous pouvez vérifier avant l’arrivée du pro

Ces gestes simples ne remplacent pas un dépanneur, mais font gagner un temps précieux.

• S’assurer que le disjoncteur dédié n’a pas sauté et que l’appareil est alimenté

• Dégager l’unité extérieure (feuilles, neige), vérifier que le bac condensats n’est pas obstrué

• Lire et noter les codes erreurs, prendre une photo de l’interface et de la plaque signalétique

• Vérifier la pression du circuit (souvent 1–1,5 bar à froid), sans sur-remplir

• Remettre des consignes modérées et la loi d’eau par défaut si elles ont été modifiées

En conclusion, ces vérifications sécurisent l’environnement et accélèrent le diagnostic.

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